Dans cet « À propos », je vais vous raconter comment l’idée de la création de ce blog a surgi.
Je ne compte plus le nombre de fois où des situations, des rencontres, m’ont soufflé l’envie d’écrire des articles pour transmettre des informations utiles, pour enseigner sur des sujets courants, et surtout pour partager la curiosité d’aller à la rencontre d’autres professionnels afin d’apprendre davantage sur ce que leur quotidien pourrait nous inculquer.
Vous savez, parfois, on croise une personne qui nous raconte une anecdote, et on se dit que ce serait bien que d’autres en aient connaissance pour leur faciliter la vie. Ou encore quand des situations compliquées se trouvent résolues par une astuce dont peu de gens imaginaient l’existence. Il y a aussi ces rencontres riches d’échanges qui éveillent en moi l’envie de lier ces personnes avec d’autres, car je suis, à ce moment-là, persuadée que quelque chose de beau pourrait ressortir de cette réunion…
C’est un peu tout ça à la fois qui m’a donné envie de publier des articles sur Le Blog des Artistes Freelances.
En premier lieu, il m’a semblé correct de faire preuve d’une certaine transparence en vous présentant qui je suis…
Un jour, alors que de belles énergies traversaient enfin mon existence, quelqu’un qui m’était très cher m’a donné le surnom de Nuna (Nouna / Noona).
C’était comme une évidence. Spontanément, les atomes de mon corps ont aussitôt absorbé ce nom, et dans leur vide, il s’est à jamais niché. Ce nom était mien désormais.
Plus tard, j’ai appris les différentes significations de Nuna. Si le cœur vous en dit, vous pourrez en lire quelques-unes via ces liens :
https://www.gurumed.org/2022/02/07/dimmenses-chaines-de-montagnes-auraient-boost-lvolution-de-la-vie-sur-terre/
https://fr.wiktionary.org/wiki/nuna
Aussi, en Corée, un homme appellera sa grande sœur Nuna (누나). Ce qui est surprenant, c’est que je découvrais tout juste la culture coréenne par le biais de mon enfant aîné, qui venait de partir là-bas pour la première fois.
Enfin bref. Je m’appelle donc Nuna.
Je suis maman solo de 4 enfants.
Depuis ma naissance en 1975, j’ai officiellement habité dans 23 logements successifs, dans différentes villes et régions. J’ai même vécu quelques années à Londres.
J’ai aussi pratiqué divers métiers, allant du baby-sitting au travail social auprès de la protection de l’enfance ou comme responsable de structure, en passant par l’animation commerciale et la soudure de pièces en aéronautique.
Ces voyages géographiques et professionnels m’ont amenée à rencontrer de très nombreuses personnes dont la majorité est venue, d’une manière ou d’une autre, enrichir mon chemin d’expériences.
Arrivée sur Terre dans un univers déjà atypique, j’ai la chance d’être née dans une famille d’artistes-artisans. Certains discrets, tels que mon père Philippe, bien qu’il soit passé à la télévision quand il était jeune.
ou ma mère, qui n’a que trop rarement fait des expositions locales de ses si belles œuvres sous le nom d’artiste : Maya (photos ci-dessous). Ses sœurs, Béa (http://bea100.free.fr/) et Elsa, peintre et écrivaine (auteure d’un livre), sont reconnues, tout comme ma grand-tante Françoise d’Eaubonne (lien wiki) ou sa sœur Jehanne Jean-Charles (lien wiki), toutes deux artistes écrivaines, entre autres.
Je me souviens très bien du moment où j’ai décidé que je voulais créer des publicités, ou en tout cas, créer des images. Je devais avoir 2 ans et demi, 3 ans, et nous habitions Porte Brancion dans le 15ᵉ arrondissement de Paris. J’étais devant la télévision, et je crois que c’était après un épisode de Chapi Chapo ou peut-être de Colargol. Je suis restée devant un spot publicitaire et j’ai crié à ma mère, qui était dans une autre pièce : « Je veux faire ça quand je serai grande ». J’ai le souvenir de la compréhension que j’ai eue du principe hédonique à partir duquel sont imaginés les scénarios publicitaires, pour éveiller en l’autre, le spectateur, ce sentiment de bien-être, de complétude à l’idée d’avoir l’article ou le produit présenté. J’ai trouvé ça extraordinaire !
Entre autres, cet héritage psycho-généalogique, qui a permis à ma pensée divergente et en arborescence de se développer relativement librement, a grandement favorisé mon épanouissement, et la musique a pris une place importante dans ma vie.
Je ne m’en suis rendue compte que tardivement, mais chaque fois que j’entreprends une action, quelle qu’elle soit, des sons y sont associés. Quand je prête attention aux pollutions, visuelles ou sonores, environnantes, et pour éviter qu’elles ne m’oppressent, je les transforme en symphonies ; et si on pouvait les classer, elles seraient rangées dans les styles rock progressif ou métal.
Tout se passe dans ma tête, car j’ai eu beau essayer l’apprentissage autodidacte d’instruments ou du chant lyrique avec un professeur particulier, je n’ai su persévérer. Ces productions musicales ne se font qu’intérieurement. Seul le chant m’est praticable dans un cadre privé.
À cette époque, avec mon père, on écoutait souvent les vinyles d’Oxygène Trilogy, Équinoxe et Chronology de Jean-Michel Jarre. Je passais beaucoup de temps à détailler les artworks des pochettes, réalisés par Michel Granger.
À l’inverse, lorsque j’écoute une musique composée par un artiste, l’augmentation de mon tonus dopaminergique m’amène à traduire en images toutes les émotions que je ressens à l’écoute.
De la même manière que j’associe une image à un mot, la musique devient tout un monde, un univers extraordinaire.
De ce fait, les activités que je n’ai eu de cesse de pratiquer sont celles de la création d’images et de l’organisation d’espaces numériques ou architecturaux. C’est à travers ces domaines que mon intuition et mon hypersensibilité trouvent à cœur et corps de s’exprimer.
Pour vous donner un exemple : à peine suis-je entrée dans une pièce que je repère immédiatement quel en serait l’aménagement favorisant la bonne circulation de ses occupants, en fonction de leur type de gestuelle, de leur taille, etc. C’est le même fonctionnement qui s’opère lorsque je dois mettre en page plusieurs éléments aux aspects, tailles et couleurs différents.
Dans la création graphique, quand un client m’explique par téléphone ce dont il a besoin, il ne me faut poser que très peu de questions pour en déduire une première idée de conception.
En effet, de manière spontanée, je vais avoir une lecture émotionnelle de l’histoire entre mon client et son projet, son entreprise, et ses prospects, fans ou usagers. Comme on le dit bien souvent, la première idée est la bonne ! Eh bien, dans ces situations, il en est de même.
Ces traits atypiques m’ont longuement fait défaut car ils ne sont reconnus que depuis peu finalement. Il n’est pas aisé d’être soi-même dans un monde conformiste.
Mais quels sont ces traits, me demanderez-vous ? Il s’agit, par exemple, de la capacité subtile à analyser et ressentir de manière spontanée tout ce qui peut l’être, soit chez une personne, dans sa voix et/ou sa gestuelle, son odeur aussi, soit dans une situation donnée ou dans un environnement précis. De cette extra-lucidité mêlée à une forte intuition, en ressortent une grande fatigue (LOL) mais aussi la possibilité d’anticiper, de se protéger et de répondre à des besoins parfois même avant que ceux-ci ne soient encore conscientisés et exprimés. C’est la magie de rendre l’invisible visible !
Pour en revenir aux atomes, dans l’échange que j’entretiens avec mon client, je perçois finement l’énergie qui se dégage de nos intentions respectives. J’ai une lecture quasiment nette de ce qu’il me transmettra de façon consciente et/ou inconsciente. Pour que le travail porte ses fruits, il est essentiel que cette énergie soit positivement bienveillante et constructive.
Je me plais à nommer alors cette dynamique : collaboration étroite, entre le client, son projet, d’éventuels autres intervenants et moi.
Je trouve que lorsque l’on partage ses connaissances, on finit toujours par en apprendre davantage.
Dans Le Blog des Artistes Freelances, vous y trouverez, au fil du temps, non seulement des articles « classiques » sur des sujets courants tels que l’utilisation des réseaux sociaux, les diverses manières de créer, ou encore sur des thèmes comme les technologies numériques et les veilles de tendances et de concurrence, mais aussi des publications d’interviews d’artistes sur la manière dont ils appréhendent la liberté d’être soi dans le monde de la création artistique, ainsi que des mini-reportages mensuels de type « Behind The Scenes ».
Je vous souhaite d’y trouver des réponses, de vous offrir la possibilité de soulever des questions et, si vous souhaitez voir aborder un sujet particulier, n’hésitez pas à me le suggérer via le formulaire de contact en page d’accueil du site.
1. Plateformes de partage de créations artistiques :
– Behance, Dribbble, DeviantArt : Ces plateformes permettent aux artistes de partager leurs créations visuelles et de recevoir des commentaires et des critiques constructives.
2. Cours et tutoriels en ligne :
– Coursera, Udemy, Skillshare : Ces plateformes offrent des cours en ligne sur la photographie, le design graphique, la musique et d’autres aspects de la création artistique.
3. Outils et logiciels de création :
– Adobe Creative Cloud, Canva, Figma, Pro Tools : Ces outils sont largement utilisés par les créateurs pour la conception, l’édition et la production de contenu artistique.
4. Sites de ressources gratuites :
– Unsplash, Pexels, Freepik : Ces sites proposent des images, des vidéos, des illustrations et des
éléments graphiques gratuits que les créateurs peuvent utiliser dans leurs projets.
5. Communautés d’artistes :
– Reddit (r/photography, r/graphic_design), Stack Exchange : Ces plateformes permettent aux artistes de poser des questions, partager leurs expériences et échanger des conseils avec d’autres passionnés.
6. Blogs et magazines artistiques :
– CreativeBloq, Awwwards, Pitchfork : Ces sites offrent des articles, des critiques, des tutoriels et des actualités sur les dernières tendances et techniques dans les domaines de l’art visuel et de la musique.
7. Revues de matériel artistique :
– B&H Photo Video, Musician’s Friend, TechRadar : Ces sites proposent des revues et des comparaisons d’équipements photographiques, d’instruments de musique et de matériel de conception.
8. Plateformes de streaming et de distribution musicale :
– Spotify, SoundCloud, Bandcamp : Ces plateformes permettent aux musiciens de partager leur musique
avec un large public et d’interagir avec leurs fans.
9. Bases de données de samples et de boucles :
– Splice, Loopmasters, Cymatics : Ces sites offrent des bibliothèques de samples et de boucles pour aider les producteurs musicaux à créer de la musique.
10. Sites d’inspiration créative :
– Awwwards, The FWA, Designspiration : Ces sites présentent des exemples inspirants de design et de créations visuelles.